L’attentat à l’encontre de Donald Trump a engendré un flot de réactions indignées à travers le monde où beaucoup ont exprimé leur condamnation dimanche 14 juillet. Sur le continent européen, tous rejettent « la violence politique » et en Russie, on dénonce l’incitation à la haine contre les opposants politiques.
Pour le chancelier allemand Olaf Scholz « la violence politique constitue une menace pour la démocratie », note notre correspondant à Bruxelles, Pierre Benazet. Selon la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, « la violence politique n’a pas sa place dans une démocratie », la même phrase exactement que le secrétaire-général de l’Otan Jens Stoltenberg. Et d’après le Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis « la violence politique est inacceptable dans nos sociétés démocratiques ».
Les réactions des Européens sont non seulement unanimes, mais aussi totalement uniformes pour condamner cet attentat. Ils sont à nouveau consternés et utilisent exactement les mêmes formules que lors de l’attentat contre le Premier ministre slovaque Robert Fico en mai. C’est d’ailleurs un peu le service minimum.